Superviseur pour thérapeutes
À Montpellier et en ligne

À qui s’adresse la supervision ?

Depuis la nuit des temps, la transmission de l’art du soin est basée sur l’initiation par un «guérisseur confirmé» d’un «apprenti guérisseur», à partir d’une traversée personnelle où l’accompagnant expérimente d’être accompagné dans son chemin de connaissance de soi.
Aujourd’hui, il existe une multitude d’école de psychothérapies, certaines mettant plus en avant que d’autres cette nécessité du cheminement personnel et du passage de témoin entre générations de thérapeutes.

Notre humanité de thérapeute est tissée de ressources issues de notre apprentissage et de zones de vulnérabilité, ces dernières appelant à être regardées avec bienveillance pour que le service proposé aux accompagnés soit à la fois rigoureux et créatif.
De mon point de vue, que nous soyons psychologue, psychothérapeute, psychopraticien, psychanalyste ou coach, il en va de notre éthique de nous pencher régulièrement sur notre pratique avec l’aide d’un collègue expérimenté, tout au long d’un exercice professionnel qui nous sollicite en profondeur.

Pourquoi s’engager dans une supervision intégrative ?

La supervision constitue un des garde-fous précieux du dispositif thérapeutique, qui permet de veiller avec bienveillance sur tous les intervenants en présence. Le monde du soin en général est très sollicité ces dernières années, et demande plus que jamais aux thérapeutes de maintenir de manière créative leur équilibre professionnel et personnel.

La supervision intégrative part notamment du postulat que c’est au thérapeute à s’adapter au patient qu’il accompagne, ce qui implique une ouverture à différents courants thérapeutiques sans pour autant basculer dans un syncrétisme appauvrissant.
Il s’agit donc d’un espace «hors dogmatisme», multi-référencé, faisant dialoguer entre eux plusieurs modèles théoriques.

La supervision n’est ni un espace de travail thérapeutique personnel, ni un lieu de formation continue, même si les frontières entre ces trois dimensions n’est pas toujours facile à distinguer dans le concret.

Elle est avant tout un lieu de soutien pour mesurer honnêtement notre manière d’accompagner, à partir des interpellations qui émaillent notre pratique :

• Quelles sont les difficultés rencontrées ?
• Comment est-ce que je me situe dans la relation avec telle personne ?
• Quelles sont les théories qui soutiennent telle intervention ?
• Comment m’ouvrir à de nouvelles perspectives ?
• Quel est mon périmètre juste d’accompagnement, à partir de mes envies et de mes limites ?
• Comment veiller sur mon équilibre personnel ?
• Comment proposer un cadre de travail respectueux ?
• Etc.

La supervision soutient le déploiement et le rayonnement du thérapeute dans sa couleur unique, en lui permettant de voir clairement le pas de maturation attendu dans sa pratique.

Comment se déroule la supervision ?

La supervision est un espace où deux thérapeutes en recherche allient leurs ressources pour permettre à La Vie de circuler au mieux dans la situation thérapeutique analysée.
Il s’agit avant tout d’accepter de se remettre en question, de se laisser surprendre, de garder chaque jour l’humilité du débutant.

Différents thèmes peuvent être abordés, tels que :
• l’étude des premiers entretiens et de la demande qui émerge,
• la question du diagnostic et de la prescription thérapeutique,
• l’analyse du transfert et du contre-transfert,
• l’observation des résistances,
• l’installation ou le remaniement du cadre de travail,
• l’équilibre personnel du thérapeute,
• les aspects pratiques de l’installation en libéral,
• l’impact des crises sociétal sur l’exercice clinique…

Je suis personnellement supervisé pour les supervisions que j’accompagne, tout comme je continue à être supervisé en tant que thérapeute.

À qui s’adresse la supervision ?

Depuis la nuit des temps, la transmission de l’art du soin est basée sur l’initiation par un «guérisseur confirmé» d’un «apprenti guérisseur», à partir d’une traversée personnelle où l’accompagnant expérimente d’être accompagné dans son chemin de connaissance de soi.
Aujourd’hui, il existe une multitude d’école de psychothérapies, certaines mettant plus en avant que d’autres cette nécessité du cheminement personnel et du passage de témoin entre générations de thérapeutes.

Notre humanité de thérapeute est tissée de ressources issues de notre apprentissage et de zones de vulnérabilité, ces dernières appelant à être regardées avec bienveillance pour que le service proposé aux accompagnés soit à la fois rigoureux et créatif.
De mon point de vue, que nous soyons psychologue, psychothérapeute, psychopraticien, psychanalyste ou coach, il en va de notre éthique de nous pencher régulièrement sur notre pratique avec l’aide d’un collègue expérimenté, tout au long d’un exercice professionnel qui nous sollicite en profondeur.

Pourquoi s’engager dans une supervision intégrative ?

La supervision constitue un des garde-fous précieux du dispositif thérapeutique, qui permet de veiller avec bienveillance sur tous les intervenants en présence. Le monde du soin en général est très sollicité ces dernières années, et demande plus que jamais aux thérapeutes de maintenir de manière créative leur équilibre professionnel et personnel.

La supervision intégrative part notamment du postulat que c’est au thérapeute à s’adapter au patient qu’il accompagne, ce qui implique une ouverture à différents courants thérapeutiques sans pour autant basculer dans un syncrétisme appauvrissant.
Il s’agit donc d’un espace «hors dogmatisme», multi-référencé, faisant dialoguer entre eux plusieurs modèles théoriques.

La supervision n’est ni un espace de travail thérapeutique personnel, ni un lieu de formation continue, même si les frontières entre ces trois dimensions n’est pas toujours facile à distinguer dans le concret.

Elle est avant tout un lieu de soutien pour mesurer honnêtement notre manière d’accompagner, à partir des interpellations qui émaillent notre pratique :

• Quelles sont les difficultés rencontrées ?
• Comment est-ce que je me situe dans la relation avec telle personne ?
• Quelles sont les théories qui soutiennent telle intervention ?
• Comment m’ouvrir à de nouvelles perspectives ?
• Quel est mon périmètre juste d’accompagnement, à partir de mes envies et de mes limites ?
• Comment veiller sur mon équilibre personnel ?
• Comment proposer un cadre de travail respectueux ?
• Etc.

La supervision soutient le déploiement et le rayonnement du thérapeute dans sa couleur unique, en lui permettant de voir clairement le pas de maturation attendu dans sa pratique.

Comment se déroule la supervision ?

La supervision est un espace où deux thérapeutes en recherche allient leurs ressources pour permettre à La Vie de circuler au mieux dans la situation thérapeutique analysée.
Il s’agit avant tout d’accepter de se remettre en question, de se laisser surprendre, de garder chaque jour l’humilité du débutant.

Différents thèmes peuvent être abordés, tels que :
• l’étude des premiers entretiens et de la demande qui émerge,
• la question du diagnostic et de la prescription thérapeutique,
• l’analyse du transfert et du contre-transfert,
• l’observation des résistances,
• l’installation ou le remaniement du cadre de travail,
• l’équilibre personnel du thérapeute,
• les aspects pratiques de l’installation en libéral,
• l’impact des crises sociétal sur l’exercice clinique…

Je suis personnellement supervisé pour les supervisions que j’accompagne, tout comme je continue à être supervisé en tant que thérapeute.

Psychanalyste issu à la base du monde du corps, en exercice professionnel depuis les années 90 en étant régulièrement supervisé, j’ai le souhait d’accompagner les praticiens à partir de l’espace du cœur en cultivant humilité, rigueur et créativité.